Paul fait sa rentrée dans une nouvelle école. Il se fait rapidement deux copains, Violette, une petite fille, et Gilbert, qui ressemble à un monstre... et en est un ! En fait, Paul se rend compte qu'il est le seul humain de cette étrange école... et qu'il va devoir le cacher, car certains de ses camarades adorent dévorer les enfants ! Au fil de cette folle journée, il va ainsi : voit tomber Gilbert en enfer, essayer de manger à la cantine (où il n'y a que des animaux vivants au menu), tenter d'aller aux toilettes (elles adorent se promener), combattre un terrible démon ou... être possédé par une âme damnée !
Aucune fenêtre ne s'alignait sur l'autre et on eut été bien en peine d'en compter les étages. Une seule chose était sûre : des gens y habitaient.
Mesdames Judith Pinson et Anne-Marie Fauvette, des commères de première, ressentaient chaque nuit des choses, entendaient des bruits. Ce qu'elles ne savaient pas, c'est qu'une fois toutes les lumières éteintes, la maison s'endormait et elle rêvait...
L'histoire de celle qui voulait éradiquer la masculinité. En 1968, Valérie Solanas tente d'assassiner Andy Warhol. S'il y a de la haine et de la folie dans cet acte, elle l'a d'abord commis pour accéder à la célébrité.
Devenir célèbre pour faire entendre sa voix et celles de toutes les femmes. Devenir célèbre pour écraser l'immonde et arbitraire patriarcat. Devenir célèbre et promouvoir son manifeste féministe radical : le SCUM manifesto. La cible n'est finalement qu'à moitié atteinte car Valérie Solanas est aujourd'hui surtout connue pour ce crime raté...En contant l'histoire de cette femme douée mais borderline, Théa Rojzman nous explique comment Valérie Solanas s'est forgée.
Des agressions répétées de son père, en passant par sa vie dans la rue, la nécessité de se prostituer et ses rencontres avec les personnages de la pop culture new-yorkaise des années 1960...
La vitalité de l'écriture de Théa, mêlée à la force de la mise en scène et du séquençage de Bernardo Juan Serrano brossent dans les pages de cette bande dessinée un portrait psychologique d'une grande subtilité.
Les Nephilims, ennemis jurés des Elfées, cherchent une fois de plus à les anéantir. Loin de se douter du danger qui les guettent, les quatre adolescentes organisent un concert à La Caverne pour éviter sa fermeture.
Mais Nina a l'air peu concerné, au grand étonnement de ses amies. En effet, ses parents se disputent tout le temps et cela l'affecte terriblement. Les Nephilim, profitant de sa faiblesse, vont l'isoler peu à peu des autres Elfées et la faire plonger vers le côté obscur de la magie...
Jacques Berdemol est dans le même état que l'usine d'aliments pour chat qu'il dirige : guetté par l'obsolescence et la baisse des performances. Il doit se réinventer ! Un nouveau départ qui passe par la liquidation de la société MAHARADCHAT qu'il a désormais en horreur. Mais l'arrivée de l'envoûtante Jessica au poste de secrétaire intérimaire redéfinie les modalités de cette fermeture annoncée...
Malgré son inexpérience, Oxana va pouvoir accomplir son rêve : incarner la princesse Aurore dans "La Belle au bois dormant" !
Mais elle est loin de se douter que cette nomination n'est qu'une manigance de M. Aster pour la faire détester de toute la troupe. De plus, il a mis la main sur le médaillon, source de l'énergie vitale de la « belle endormie » et élément indispensable pour relancer la malédiction qui l'avait plongée dans ce long sommeil.
Isolée, affaiblie, et bientôt maudite, l'avenir d'Oxana s'annonce bien incertain dans cet acte final. Mais Léonide veille...
New York City, quartier de Wall Street.
Un jeune homme est engagé dans une étude de notaire. Il s'appelle Bartleby. Son rôle consiste à copier des actes juridiques. Les premiers temps, Bartleby se montre irréprochable. Consciencieux, efficace, infatigable, il abat un travail colossal, le jour comme la nuit, sans jamais se plaindre. Son énergie est contagieuse. Elle pousse ses collègues, pourtant volontiers frondeurs, à donner le meilleur d'eux-mêmes. Un jour, la belle machine se dérègle. Lorsque le patron de l'étude lui confie un travail, Bartleby refuse de s'exécuter. Poliment, mais fermement. I would prefer not, lui répond-il. Soit, en français : je préfèrerais ne pas. Désormais, Bartleby cessera d'obéir aux ordres, en se murant dans ces quelques mots qu'il prononce comme un mantra. Je préfèrerais ne pas. Non seulement il cesse de travailler, mais il refuse de quitter les lieux...
José Luis Munuera s'empare de la nouvelle d'Herman Melville dans une adaptation magistrale et porte un regard original sur ce texte, réflexion stimulante sur l'obéissance et la résistance passive.
Mo a construit un petit bout de sa vie à Saïgon, il aime ce pays et y a des amis. Ce pilote d'hélicoptère travaillant pour une entreprise de transport privée transite aussi bien des commissionnaires chargés par l'ONU pour surveiller les cessez-le-feu que de la marchandise en tout genre. Mais lorsque son patron lui demande de livrer une marchandise frauduleuse, Mo a un mauvais pressentiment.
Revenue des Enfers en sauveuse de Venise, la sombre et sérénissime cité des Doges, Saria n'est plus la même.
Elle incarne maintenant La Luna, une héroïne forte, prête à tout pour reprendre les rênes de sa vie et obtenir ce qui lui revient de droit. Elle a traversé de nombreux périls et fait d'énormes sacrifices pour en arriver là.
L'heure est venue pour elle d'accomplir enfin sa destinée...
Les histoires secrètes des essais atomiques français !
Entre 1960 et 1996, la France a fait exploser, en Algérie et en Polynésie, 210 bombes atomiques.
Des essais nucléaires auxquels ont participé, de près ou de loin, environ 150 000 hommes. Beaucoup étaient fiers de contribuer à la " grandeur de la France... jusqu'à ce que les premières maladies apparaissent. Et les premiers mensonges d'État.
À l'aide de récits d'appelés, d'engagés, de personnels civils, d'habitants de Polynésie mais aussi de documents estampillés " secret défense ", Au nom de la bombe dessine la face cachée de la grandeur atomique française. Édifiant !